PATRON TOXIQUE TOLÉRANCE ZÉRO

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La tolérance zéro à l’égard d’un patron toxique doit être de mise. Voilà donc quelques conseils pour apprendre à les identifier. La plupart du temps, il divise pour mieux régner avec leur égo, il entretient une mauvaise culture de travail, il crée de l’incertitude et un manque de confiance dans les valeurs de l’entreprise. Ce genre d’individu crée des équipes dysfonctionnelles, et souvent, il pousse ses employés à la démission pour engager des jeunes qui se feront martyriser corps et âme par manque d’expérience. Un leader toxique est celui qui utilise de manière inappropriée le pouvoir qui découle de son rôle.

Il est arrogant et croit que l’étalage de son pouvoir le rend meilleur que les autres. L’une des caractéristiques les plus évidentes est sa difficulté à écouter autrui. Il ne fait pas confiance aux personnes avec lesquelles il travaille et pense donc que la meilleure stratégie consiste à contrôler chacune de leurs actions, même les plus petites. Il suppose que l’humeur et l’irritabilité sont des signes de sérieux et de responsabilité au travail. Il interprète ses attitudes comme l’expression d’un engagement et d’une rigueur.

Les employés, qui font preuve d’initiatives, représentent une menace. Un tel patron va même jusqu’à penser que les employés prennent des libertés qu’ils ne devraient pas avoir ou interprète les propositions des autres comme un défi à son autorité.

Il n’a aucune idée des besoins de ses employés ou clients. En fait, il n’est pas du tout intéressé à le découvrir. Il estime que les relations de travail doivent être totalement détachées des aspects personnels et que ceux-ci sont sans rapport avec l’exécution des activités professionnelles quotidiennes.

Les patrons toxiques sont nombreux, surtout en période de crise. Ils savent qu’ils peuvent dépasser les bornes et qu’une bonne partie de leurs employés ne diront rien de peur de perdre leur emploi. Cravate de soie et sentiment sectaire, cheveux blanc de la respectabilité, ils se sentent invincible. Mais, peu importe, il a tellement une haute opinion de lui que sa propre pensée tourne autour de lui-même, sorte de derviche tourneur de la crétinerie.

Comment les employés doivent-ils traiter un patron toxique ?
1.⁠ ⁠Favorisez un environnement de communication ouverte des employés pour faire front ensemble.
2.⁠ ⁠Donnez un retour d’information direct aux actionnaires ou conseil d’administration.
3.⁠ ⁠Ne pas hésitez à porter plainte en cas de comportement inacceptable.
4.⁠ ⁠Isolez le des autres et des informations de l’équipe, son côté parano fera le reste.

J’ai connu, il y a quelque mois, un amuseur comme cela ; sorte de champagne mousseux, d’un verre d’eau de Seltz, nul sérieux, nul souci de la vérité, nulle moralité ! J’ai toujours eu, pour ce pauvre diable, une horreur insurmontable, quasi physique. Son cas clinique, à cette époque, était beaucoup moins fixé qu’il ne l’est maintenant.

Ressemblant à un fils de coiffeur vicieux, les cheveux partagés par une raie parfumée au patchouli, des petits yeux rapprochés avides, des lèvres qui giclaient et coulaient la suffisance pendant ses discours. Son torse était bombé comme le bréchet de certains oiseaux charognards, lui se nourrissait avidement de toutes les immondices qu’il colportait. Sorte de grillon qui chantait la sale besogne des hauts de Versailles, comme le clapotement d’un égout servant de déversoir pour le commun d’un mortel. Finalement, il s’est tiré une balle dans le pied tout seul, un « faux con » mais un vrai crétin.

FM