VICTOR WEINSANTO LE BAIL DE L’ENFER

FHCM

C’est une égérie fabriquée de toute pièce par le « Flop Fringant » et Jean Paul Gaullé, le créateur à « Con sonance » et trébuchante germanique vivra en théorie parce qu’en théorie tout se passe toujours mieux. Victor Weinsanto, en étudiant le « balai » à Stuttgart, là où on fabrique les Porsches et où les sols sont ‘brillants’ comme le quatrième navire de la Marine française pour les cultivés, finit par pondre une collection digne d’une vieille Peugeot.

Après avoir réalisé qu’il voulait être créateur de mode, il se forme à l’école Atelier Chardon Savard à Paris, où il découvre « le plaisir de s’amuser ». Paris est une fête surtout dans le Marais pour un feu d’artifesse perpétuel qui est la formation principale des modeux Français aujourd’hui. Il s’attribue deux ans avec Jean Paul Gaultier, où il a appris le fondement du savoir-faire, de l’artisanat et du processus créatif.

Seul devant sa page blanche, voilà un faux couturier industrieux laconique comme un écho qui ne réfléchit jamais. Mais enhardi par des brigands plus furtifs qu’une flotte d’élèves de l’IFM. Il est aussi léger qu’un oiseau qui volerait avec une enclume. Nous sommes à Paris dans la « Perfide Graillon » celle des journalistes qui ont l’accréditation de dire tout et surtout n’importe quoi.

FM

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