BALENCIAGA 2022

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Cristobullshit Balenciaga, le sentier des vaniteux ou des va-nu-pieds ? Voici la marque qui ronronnait comme un moteur sans essence, ce retour aux affaires ne manquera pas de faire sensation avec les égéries de la « télé-réalité » qui attirent toujours les sujets brûlants pendant les « Fashion Weeks » qui se suivent et se ressemblent malheureusement. La mode est à l’image de ces égéries : souvent lourdes, vulgaires et incultes. Il est vrai que les clientes sont de la même « Trump ». Demna Ganasia a la haine de la beauté : une haine basse des âmes qui vous pousse à l’outrance, pour le bûché des perditions.

La vitrine couture s’est transformée en numérique, comme les clientes, d’ailleurs. Il ne restait plus qu’une solution pour les gens de la mode : tout parier sur l’écologie et la durabilité, de façon à forcer ceux-ci à en finir d’utiliser des animaux morts pour leurs clientes et d’en terminer avec le grattage de vieilles peaux suite aux allergies diverses dues aux teintures de la Chine plus impopulaire que populaire, d’ailleurs.

Demna, qui veux dire « digne » en Roumain. « S’il vous plait, donnez-moi un peu de talent. S’il vous plait, Monsieur ! Ce Géorgien devait être le créateur qui taillait les vestes de Staline, en son temps, au vu de sa collection. Voilà donc un nouveau « Vile Morand » de plus pour une collection que « Elle » et « Vogue » encenseront certainement.

Anonymode

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