DE VILMORIN PRECHE DANS LE DESERT

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De Vilmorin prêche dans le désert, probablement pour se rapprocher de YSL, et du Chergui de Marrakech, mais, celui-ci ne verra que le sable d’une carrière de Fontainebleau dans celle d’ailleurs où les verriers français s’approvisionnent pour réaliser ces si jolis Flacons de parfum, mais il ne le sait certainement pas. Concernant le vent chaud, il n’aura que le souffle brûlant sur la nuque d’un de ses assistants au soir venu, et c’est déjà bien assez.

Expérimentation du faux-semblant, inélégance distincte ou empilement de tissus attachés sur des maillots de « Rien » achetés dans les souks de H&M. De la couleur nous passons au noir, le degré « zorey » de la couture et le néant de la créativité ; sorte de bluff sur le toit marketing, mais surtout un bluff sur le moi. Egocentrisme et misérable vision d’un jeune que l’on porte aux nues à l’échelon de la planète, et qui coud avec des gants de boxe tout en rafistolant ses « crémations » avec les fils du téléphone. Peintre coloriste, pas encore maudit, et couturier sans aiguille, il pousse le geste couture à l’outrance de s’appeler couturier. Je cherchais de l’or, et je n’ai trouvé que de l’ordure ! Vermisseau né du cul de Desfontaines tellement pauvre d’esprit couture que dans ses Kinders, il n’y avait déjà pas de surprise.

Aimant les florentins courtisans prêts à toute bassesse, même à être glacés devant le succès ressemblant à cet iceberg, sept fois plus « niais » que ce que l’on voit. Voilà sûrement « un feu de maille », un hernaniste qui veut nous imposer par force son opinion, et faire porter aux femmes un vêtement qui les martyrisera au nom d’un invisible que la plupart n’ont d’ailleurs jamais rencontré, le génie. Bref, un homme dont les jambes se « des robes » sur sa putréfaction, en un mot, un humain de contrefaçon de plus, mais certainement pas un créateur.

Anonymode

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