SUPER BOWL OF SHIT

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Quand je n’aurai plus qu’une paire de fesses pour penser, j’irai l’asseoir dans le Conseil d’Administration de Tiffany, car associer un ballon de football américain à un fabricant de bijoux, cela est-il pertinent ? Comme si dans ce groupe on flairait l’argent comme des chiens truffiers, une sorte de Torquemada maison de « tollé rance », et Vespasienne des idées de la Goutte d’Or du triangle. Avec ces joailliers, les roses, le jour de la Saint-Valentin, sont lubriques et les lys dévergondés, ainsi que leur odeur, font régurgiter les gens de goût.

Idée d’eunuques en colère, et proxénètes de l’envie, Jonas de contrebande, qui frauduleusement ont déposé sur le gazon par un hoquet imprévu de grands collectionneurs, un ballon vert avec Monsieur Wilson, « I Presume » fabricant éponyme de ballon de « voler-ball ». Des trabucaires de la pensée qui, de leur intelligence mycosée, ne pensent qu’à l’audience au détriment du produit, pour rentabiliser un raid vite, très vite. Et pendant ce temps-là dans les ateliers de maroquinerie on demande une hausse de salaire juste pour survivre.

PS: Prix des 30 seconde ce Pub, 7 millions de dollars pour un spot, et le prix du billet VIP, 60 000 euros pour le fils du seigneur.

Anonymode

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