YAMINA HONTE COUTURE

FHCM

La force et le modèle des groupes de fausses couturières du luxe, Bimbos Russes et anciennes demi-mondaines, riches comme « Pétrus », deviennent insupportables par leur ingérence dans les instances dirigeantes, par l’argent dépensé dans leur manipulation des réseaux sociaux, et la désinformation afin que les Fédérations, les adoubes, comme invités. Il y a certainement eu des commissions « au culte  » de la croyance populaire des niais.

C’est une arme de domination massive qui détruit la mode Française et ses marques à leur profit. La Chambre Stomacale, jamais à court de bonnes idées, ouvre les portes à une ex-mannequin Russe qui n’a jamais cousu une robe de sa vie. Voici donc les natures moyennes avec le général en chef, le Marand, costume étriqué et chaussures sales, ce discriminateur en chef, aux ordres des grandes marques, marquant sa différence par les courbettes sans cesse répétées qu’ils leur adressent. Ce transfuge de l’école de la philosophie de la vie, où son seul talent est être un (écho no mixte).

Il dirige la vieille dame pour la réveiller en la sabotant, à l’inverse de Denise du Bois Dormant qui, elle, l’endormissait. « Un baiser volé » vous aurait dit Pierre Bergé, mais celui de Juda. Préparez-vous à un bain de foule, pour les « trempettes » de la renommée, pour la disparition des règles imposées, et la recherche de Mister Good barge.

« Un imbroglio », aurait dit le grand Jacques, organisé par l’homme de Tolède et son copain de classe, qui regarde Sydney en « Août Back » et dit à son subordonné : Blaise Pascal. Le Seigneur, lui, a compris depuis longtemps, et est partie à Bruxelles pour un Waterzooïe ! Waterzooïe ! Morne Plat ! Modernité contrôlée, des anciens dirigeants, quand, là encore, le visionnaire est toujours seul face à la cécité ambiante d’une époque, ou il est seul face à l’intérêt privé qui prime par-dessus tout.

Quand à la couturière Yasmina, (en hébreu littéralement vers la droite) personnage de roman à la Vsevolod Krestovski, idéaliste comme le Rodolphe d’Eugène Sue, qui s’est donné pour tâche de « poursuivre le mal, et soulager ceux qui souffrent ». Elle a commencé à nous faire souffrir pas des robes cousus avec des gants de boxe pour des looks plus Barbès que Rochechouart (le précipice rocheux de Cavardus), et finira, comme son compatriote, Staline, avec la récompense du « Mâle » qui pourrait la soulager, de cette obscure objet du désir de devenir Créatrice de « Robbe* ». (*Robbe : phoque du pôle nord.)

Finalement, je dois me consoler, car ceux que le troupeau déteste le plus, c’est ceux qui pensent différemment. Ce n’est pas l’opinion en soi mais l’audace de penser par soi-même, chose qu’ils ne savent pas faire et l’homme de Tolède en est la concrétisation avec sa diarrhée verbale sur Fashion « Net Wok », un message peut-être !

Anonymode.

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