LA MODE ET L’OLYMPE DE PARIS

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Elle est lourde, pénible, obstinément enfoncée dans sa science infuse, occupée à compter toutes les ratatouilles avec un tel encombrement d’outils et de préparation, que lorsqu’elle sort de ses égouts de Paris et qu’elle revient à la lumière, elle garde l’odeur des muridés de laboratoires, qu’elle cultive en sous-sol.

La vraie noblesse hispanisante lui manque, et les choses délicates lui échappent. Ses mains, qui n’ont jamais travaillé, triomphent quand il s’agit de bassesse. Elle se trouve bien dans l’ignoble où elle habite sans répugnance, et c’est dans un musée « Dupuytren in folio » qu’elle donne toute sa puissance. Belle comme un champignon purulent des carrières Lutéciennes, ses courtisans peuvent tout au plus espérer qu’un jour, un curieux ou un raffiné, le cerveau peroxydé, logera cette folle de Chaillot au Panthéon des milles exemplaires excentriques de Lutèce.

Choisissant une diplômée du design aux « Pays de basses œuvres », entre le sport qui lui échappe, et le luxe à la Vuitton, les couleurs de Tiphany sur des vêtements qui, sans intérêt, sont tout à fait uniques et intemporels en rien. Expérimentation du laid et du faux, la collection, pour les 45 000 bénévoles qui officieront pendant les Jeux, dénote une inélégance distincte ; le zéro degré de la créativité Française.

Une collection qui pourrait venir de la plus déjantée des anglaises, pour un tir à air comprimé « pet à son âme », mais c’est à nous qu’il faut le comprimer pour éviter le mal de tête. Sorte d’erreur de la nature, qui donne la violence du mâle, dans un organisme dénué de féminin pour des Jeux Olympiques déjà très controversés. Ces vêtements ignobles de nécessiteux ne viendront pas rehausser l’image de sa ville où il est à parier que les policiers confondront le staff avec les habitants des tentes des quais de Seine.

Inspirée probablement des bas fonds et des immondices de Paname, la Dame du Châtelet, qui n’a pas perdu le nord avec son partenariat, donne au seigneur un semblant d’agacement, que l’on associe son groupe de luxe à cette infâme supercherie de la mode. Un bluff égocentrique et une misérable vision de la France. Étonnant que parmi vos copains, les 200 individus à la communication de l’Hôtel de Ville, qu’aucun ne vous ait dit que c’était moche ! Consternant !

FM

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