BALMAIN LES RAISINS DE LA POLAIRE

Commenter la mode à Paris d’aujourd’hui consiste à s’entasser dans des salles obscures, que les agences de pestes garnissent jusqu’à la gueule afin que les convives ne puissent plus respirer, et que les badauds massés à l’extérieur éprouvent la sensation de faire partie de ce monde iconoclaste. Le goût n’a plus vraiment d’importance et le plaisir vif de voir le sublime a disparu. On vous décrit ici les luttes de classe par les rangs que les bureaux de style vous donnent. Les bobos s’y pressent, eux qui ne font aucune différence entre tel ou tel couturier, ils pensent souvent que Mugler est encore à Londres en vie. Pour lire plus cliquer ici

PARIS MODE A OLYMPE DE GOURDE

En marge des Jeux Olympiques, sous la houlette du magazine publicitaire, plus vraiment en Vogue, sera organisé une « pré cérémonie » glamour place Vendôme par la Gabacho de 64 ans et l’ex-madame l’ambassadrice de Londres posthume, Anna 74 ans. Ce défilé réunira la mode, des animations, des performances et quelques surprises annonce-t-ton ; peut-être un Marrant en tutu, sponsorisé par la maison Chanel et l’Opéra de Paris, qui sait ?

Plusieurs créateurs de renom prendront part à ce très rare événement collectif. Parmi eux on cite des créateurs, tous sans diplôme de mode, le Français Jacques Muse et Olivier Roustintin, directeur artistique de la maison Baltringue ainsi que Pharrell Lanscilo « 50 ans ». Pour lire plus cliquer ici

MONTRES OMEGA DE VILLE

Drôle de montres ! Elles ne sont pas seulement des objets qui donnent l’heure ! Elles sont aussi de mini forteresses enchantées qui font pétiller les yeux des enfants comme moi. Je me rappelle du jour de ma première communion lorsque l’on m’a offert cette montre. Celle-ci m’a fait rentrer dans ce monde imaginaire qui détermine la course folle du temps, et elle restera l’émerveillement de mon enfance. Elle me permettra de ne jamais perdre le nord, et de calculer ma vitesse sur ma mobilette « Motobécane ». Résultat, après 65 ans de vie et plus de cent modèles en ma possession, que je ne partage avec personne, je passe d’une à l’autre en fonction de mes humeurs comme certains passent d’une maîtresse à une autre. Pour lire plus cliquer ici

YUHAN WANG LONDON 2024

Il suffisait de prendre quelques photos des collections de John Galliano pour Margiela, et en moins d’une semaine, les envoyer en Chine pour un copiage du prince de la couture parisienne. Wang qui veut dire en chinois « vouloir », mais le suicide, ce n’est pas vouloir mourir vraiment, c’est vouloir disparaître.

La bimbo, à côté de moi, me dit qu’elle fait une thèse sur les mots qui n’existent pas en Français ! Etrange, comme toutes ces influenceuses que l’on peut rencontrer à Londres ou ailleurs. Pour lire plus cliquer ici

BURMA 2024

Paris vit à l’heure des années folles, quand Gaston Doumergue inaugure le Boulevard Haussmann avec des ciseaux de vermeil ; il coupe le ruban symbolique décrié par certains. A l’époque Joséphine Baker vient de se produire aux Folies Bergères, avec la revue Nègre. Au cœur du quartier des théâtres, la Maison Burma ouvre ses portes et signe un style, en adéquation avec la nouvelle femme moderne, émancipée et trépidante. Pour lire plus cliquer ici

LABRUM LONDON FALL 2024

La marque fondée par Foday Dumbuya a remporté l’année dernière le Queen Elizabeth II Award for British Design. Il a convoqué le public de la mode londonienne à la Tate Britain pour un défilé qui a débuté avec 40 minutes de retard, accompagné d’une lente bande-son hypnotique qui semblait figée dans le temps. Cela n’a pas aidé, il était le dernier à se présenter samedi soir. Pour lire plus cliquer ici

LOUIS VUITTON L’APPRENTISSAGE D’UN MÉTIER

Constant était un de ses deux cousins à l’avoir le mieux accueilli. Il  lui enseigna le métier d’emballeur. Toute la journée, il allait proposer ses services de magasin en magasin. Sa technique était simple : posté dans une rue commerçante fréquentée par les aristocrates et les bourgeois, il attendait de voir un client sortir d’une boutique pour y entrer aussitôt et proposer l’emballage. La plupart du temps, cela fonctionnait, sauf quand le marchand pouvait se payer un emballeur à demeure.

Louis fit donc ses armes aux côtés de son cousin, apprenant les subtilités du métier et l’emploi des différents matériaux d’emballage. Le papier journal faisait merveille pour les assiettes et les verres, agrémenté de paille pour éviter le contact entre les différentes pièces et amortir les chocs lors du déplacement. Pour lire plus cliquer ici

BIBHU MOHAPATRA MADE IN INDIA

Présentation de robes, savant mélange de Georges Chakra et Eli Saab, avec un zest de Givenchy post-mortem, avec des bijoux inspirés dont le créateur a souvent entendu parler l’« Art des Cons ». Une couture pour ceux qui cherchent leurs tenues pour les prochains «Wall of Fame» de la société du bling bling des miss Bimbos 2025 pour la nuit des longs couteaux comme nous a appris Nabilla Verge Nana. Pour lire plus cliquer ici

LOUIS VUITTON SON ARRIVÉE A PARIS

Il entra dans Paris à la fin de juillet 1837, et quelle ne fut pas sa surprise de découvrir une ville sale, puante, désordonnée, pleine de mendiants, de pauvres vivants au sol, d’autres affligés de maladies diverses, de gamins errants, vêtus de haillons pires que ceux qu’il portait au moulin.

Une partie de la population semblait complètement à l’abandon, et l’odeur pestilentielle, mélange d’urine et de pourriture, prenait aux narines jusqu’à donner la nausée. La chaleur n’arrangeait rien. Il demanda son chemin et descendit en direction du cœur de Paris. C’était donc cela, la ville dont il avait rêvé ? Pour lire plus cliquer ici

CAROLINA HERRERA NEW YORK

On a couru à travers ce vide planétaire que l’océan sépare de Paris à Big Apple, pour une rotation de la planète en sept heures. Cercle concentrique de la plus […]

VUITTON L’HISTOIRE D’UNE RENCONTRE

Après la mort de sa mère le petit Louis partit de son village pour la capitale. En chemin épuisé et fatigué de cette longue marche, il se baigna dans l’étang d’un châtelain, le seigneur l’accueillit. Le seigneur vivait seul dans cette grande Bâtisse. Il y avait là tant de domestiques, hommes et femmes, que Louis en fut fortement impressionné, autant que par la bâtisse, immense, de quoi loger cent personnes, et la porte si large que l’on aurait pu y faire passer deux carrosses de front.

À l’intérieur, Louis écarquillait les yeux : moulures à la feuille d’or, parquets marquetés, poutres sculptées et peintes d’or, de brun et de carmin, cheminées où l’on pouvait faire rôtir un bœuf entier, portraits encadrés au mur, fauteuils tapissés de couleurs chatoyantes. Le seigneur l’invita à s’asseoir. Lorsque Louis se posa sur le fauteuil, il n’en crut pas son postérieur. Un tel confort n’était pas de ce monde. Pour lire plus cliquer ici

ALTUZARRA ANTITHESE DE ZARA

L’engagement de Joseph est de créer une garde-robe sophistiquée et moderne, construite sur les principes d’intemporalité et de qualité sans compromis.

Dégageant une féminité et un raffinement séduisants, la marque Altuzarra parle de la puissance, de l’intrépidité et de la sensualité de la femme moderne. Ancrée dans l’artisanat et la curiosité pour le monde, la collection s’inspire de l’expérience et de l’éducation multiculturelles de Joseph. Pour lire plus cliquer ici

COUP DE FOUDRE A NOTHING DEAL

À l’approche de la fête des amoureux, le 14 février, une étude met en lumière une tendance surprenante, mais pas vraiment étonnante. Plus d’un quart des 18-24 ans n’ont eu aucun rapport sexuel au cours de l’année écoulée. Bienvenue à la Saint-Valentin, les filles, vous aurez rendez-vous avec un grand pot de Nutella ténébreux.

Mais, qu’elle en est la cause ? Les écrans s’incrustent-ils jusque sous la couette ? Chez nos voisins allemands âgés de 18 à 30 ans, c’est la même chose. Les féministes vont être contentes et elles passeront la Saint-Valentin juste avec leur doigt et un petit canard, Sonia Rykiel. Pour lire plus cliquer ici

LA CHEAP HAUTE COUTURE

Un nouveau concept émerge la « Cheap Haute Couture ». Ce qui semble de très haute qualité à première vue, devient la Haute Couture bas de gamme du XXIe siècle à l’image finalement de ses dirigeants et de ses créateurs couturiers sans diplôme d’état.

Toujours plus moche et de moins en moins portable, la Haute Couture, qui devrait être un laboratoire comme l’est la Formule 1, devient le lit du prêt-à-porter. La « Cheap Fashion Haute Couture », c’est-à-dire une mode invendable, détermine la garde-robe de millions d’usines du monde. Et le soir de la Haute Couture des taxis filent sur St-Denis pour finir les broderies, et les DHL qui viennent d’Inde, sont légion. Pour lire plus cliquer ici

CHANEL DU BALAI RUSSE

« Rien ne sert de courir, il faut rôtir à point, » jubilent les pyromanes et autres incendiaires de la Fashion Week dont je fais partie paraît-il. Gabrielle, cette vieille nymphomane germanophile, se voit reprendre son concept de 1924 ; créer les costumes des Ballets Russes, mais là, c’est nous qui l’avons le balai bien dans le fondement. En faisant cela, le « K Viard » veut associer peut-être son nom à Pablo Picasso et Jean Cocteau, alors que tout le monde sait que la maison est mécène de l’Opéra de Paris, ceci explique peut-être cela ? Où va se nicher la création ? Pour lire plus cliquer ici

TOI HARD MOI SADO NOUS WOKISTES

Toutes les chutes sont mauvaises… sauf les chutes de reins pour certains ! Après le porno chic, le bobo chic, le sado-maso chic, une nouvelle tendance apparaît : le Wokisme chic ou le concept de la femme à « bâcher ». La mode se réinvente toujours par ses déviances ! La question est : pourquoi les grandes tendances ne sont plus liées au sexe ?

Toi Hard, moi Sado, nous Bondage, nous maintenant Soft… Les gourous de la profession ont remis la sexualité, grâce au Wokisme, au rencard, là où ils avaient attaché leurs fantasmes autrefois. Pour lire plus cliquer ici

JACQUES MOUSSE C’EST LE POMPON

Les lumières du temple de la fondation Maeght, son raffinement culturel et séculaire, pour ce petit sans grade, qui ose s’infiltrer. Faut-il véritablement qu’un homme soit ainsi affamé de gloire pour le pousser à ce vil brigandage intellectuel, comme un écumeur misérable de la planète mode, et son acharnement de bourbeux de manche du 19ème siècle comme pour nous dire : avez-vous compris ? On n’a jamais employé autant de mannequins, actrices et bimbos de supermarché à vouloir me rendre bête. Oui, nous avons compris que vous avez lu un livre sur la mode !!! Pour lire plus cliquer ici

MARGIELA PAR GALLIANO

Avec cette nouvelle collection, Galliano vient ringardiser les Pharrell Williams… et les supposés poètes de la mode. Il y a effectivement des soirs où le feu fait naître des parfums, […]

ON AURA TOUS VU

Eclats brillants de cristal d’une légèreté de l’Etre ; quand le rayon vert apparait, voici les funambules de l’aiguille en équilibre sur l’arc-en-ciel des défis qui nous ont conviéS à l’Institut du Monde Arabe. J’ai remonté la rue silencieusement et le long de la Seine un moment où le silence était entre la pureté d’un diamant et le strass qui s’en suivit pour une illusion qui n’était pas perdue. Pour lire plus cliquer ici

COURRIER DES LECTEURS

Monsieur,

Vous annoncez que vous rentrez à l’hôpital ! J’espère que vous y resterez pour longtemps, cela nous permettra de ne plus lire votre diarrhée verbale sur les couturiers que nous aimons.

S.T

Chère Madame, ou cher Monsieur,

Vous n’aimez pas mes foirades ou diarrhées, j’entends bien, et visiblement, vous êtes l’inspecteur de mes sels ; une profession passionnante, somme toute. Pour lire plus cliquer ici

BALMAIN L’OEIL DE LA CONNAISSANCE

C’est dans le 19e arrondissement parisien qu’Olivier Rousteing a choisi de dévoiler sa nouvelle collection masculine. Une des bimbos dans le bus voyant l’arrondissement demande à sa congénère si il fallait qu’elle emporte son passeport. Il était nul pour la femme dans ses défilés depuis 15 ans, voilà donc le premier défilé masculin, après quatre ans d’une pause café, mais celle-ci visiblement n’a pas amélioré sa couture.

Voici l’homme couture, le plus démuni de la Fashion Week et le plus pathétique. Il est un lexicographe amateur à lui seul, pour une couture sortie d’un crachat glaireux effectuant lentement sa descente morbide vers le sol et qui vous répond : « je suis le trou noir dans l’univers ». Martelant de son aiguille le bons sens, il est aux antipodes de la tendance d’aujourd’hui. Pour lire plus cliquer ici

DIOR OU LE MYTHE D’HADÈS

La promesse de la couture homme s’en alla rejoindre le cimetière des promesses qui s’étend à perte de vue dans la profession. Voici donc le mythe d’Hadès, Dieu du monde […]

KIDILL PARIS 2024

KIDILL ou Kill Bill, c’est selon, habille les femmes comme des garçons et les hommes comme des pieds. Collection du cirque Zavatta de la mode Parisienne. Des vêtements, sans intérêt, qui sont tout à fait uniques et intemporels en rien. Expérimentation du laid et du faux, allant jusqu’à singer de chanteurs britanniques des années 80 en pensant que personne ne s’en apercevrait « Oh BOY! ». La collection a une inélégance distincte, pour une philosophie qui se rapproche du néant qui plaira certainement à l’homme de Tolède et au Marrant. Pour lire plus cliquer ici

UNE HISTOIRE DE FLACONS

Chez les égyptiens, l’art des odeurs s’exprime surtout pour honorer les Dieux, et le parfum se retrouve sous forme de pommades ou d’huiles. Tous ces produits sont stockés et conservés dans de grandes amphores ou de vases décorés en terre cuite. Les premiers flacons en verre apparaissent au XVème siècle av. J-C. Les grecs et les romains travaillent déjà le verre à l’aide de moule ou de presse. Pour lire plus cliquer ici

ARMANI HARMONIE CHROMATIQUE

Telle est Pise qui croyait prendre, Giorgio Armani offre une palette de couleurs « gris de gris » mais aussi sportive, et surtout formelle, j’ai froid en l’humanité nous dira t-il. Un coup de crayon qui remet au goût du jour les costumes en velours côtelé, et comme pour nous rassurer sur son état physique, il était là en back stage pour surveiller, évitant les escaliers.
Pour lire plus cliquer ici

GUCCI SABATO DE SOPRANO

Par le caprice d’une machine à remonter le temps, le célèbre créateur se retrouva en 1989, sous la Terreur de la Magma Wintour. Aussitôt, il transposa son Fashion-show en déroulant le tapis rouge pour les personnalités du moment qui font de l’audience, et convia pour la première de prestigieuses Bimbos Italiennes. Et comme Marc Lalèche, ou Le Flop Pimpant, chroniqueur culture à la Rachida, la seule qui pense que la boutique Vuitton sur les Champs Elysées est une fondation, et que Renault aurait présenté  à Versailles, la Calèche d’Hermès de louis XIV. Pour lire plus cliquer ici

DES HUMAINS DE CONTREFAÇON

À une époque où l’Inquisition espagnole refusait même les nus mythologiques, l’audacieux Goya (1746–1828) laisse entrevoir quelques poils pubiens au creux des cuisses fermées de la « Maja », et cela environ 70 ans avant « L’Origine du monde » de Courbet. C’est peut-être la première fois que la pilosité intime d’une femme « réelle » et non d’une nymphe ou d’une déesse est représentée. Pour ajouter au culot de ce nu, la jeune femme est quasiment représentée grandeur nature sur cette toile longue d’1,90 mètre ! Pour lire plus cliquer ici

UN POISON NOMMÉ MANDAT

Poison de Christian Dior, le parfum séducteur pensé pour des femmes mystérieuses et attractives, parfum féminin incontournable de la marque Dior, lancé en 1985, doit son existence au nez Édouard Fléchier mais surtout à Maurice Roger. À l’aube de la soixantaine, ce parfum mythique n’a toutefois pas pris une ride. Cette symphonie olfactive, qui sait déchainer les passions, associe à la perfection des notes florales fruitées, épicées de musc et d’ambre. Ce parfum décrit aussi une époque, où Maurice Roger, patron des parfums Dior, vint pour la première fois imposer une même fragrance sur l’ensemble de la planète. Il la voulait dérangeante, provocatrice et mystérieuse, ne laissant personne indifférent, pari véritablement réussi ! Pour lire plus cliquer ici

ROLEX THE HOUR OF INJUNCTION

According to the French Competition Authority, Rolex has been ordered to pay 91.6 million euros (around 87 million francs at current prices) for prohibiting its authorized distributors from selling the watches online for more than ten years.

In a press release published Tuesday, the Competition Authority fined Rolex France, Rolex Holding SA, the Hans Wilsdorf Foundation, the owner of the company (financially committed to the Aventinus Foundation, owner of Le Temps SA), as well as Rolex SA, for its capitalistic, organizational, and legal links. The fine is “accompanied by a communication and publication injunction”.

UN REFUS DE VENTE POUR NOËL

Je vais certainement être blacklisté dans toute la profession, et dans le secteur de l’horlogerie car la mécanique du temps est un secteur très très fermé. Pour celui qui « Oh crime de lèse-majesté » a l’outrecuidance de critiquer une marque, il sera systématiquement éloigné de la profession une vision poutinienne ou de Corée du Nord avant l’heure sans les minutes. Il n’y a pas que le mieux qui soit l’ennemi du bien, le pire aussi ainsi que le quelconque.

Eh moi, cher Monsieur Marc, sachez que je me fous d’être blacklisté de vos marques car ce que j’aime dans le luxe c’est une mécanique commerciale bien huilée tout comme la centaine de montres que je possède.

THOM BROWNE PRE 2024

Thom Browne ou le signe extérieur de richesse intérieur, pour une des plus personnelles collections qu’il n’ait jamais présentée. « Dis dessine-moi un hurluberlu ! » Avec son sens de la couleur chatoyante de la dernière collection, c’est un contrepied parfait car le gris le « soulage » maintenant. La couleur de Thom, cette saison, ce gris symbolise le raffinement, la maturité, et le conservatisme dans un cocktail, savamment construit, de la vague Trumpiste qui s’annonce. Il y a une jupe plissée, type Tartan, source inépuisable de créations pour Ecossais en goguette, qui pourraient ringardiser Vivienne Westwood et Alexander McQueen. La collection d’un artiste androgyne, qui encense mon esprit errant de juif et pâtre Grec à la « foi ».

MARGIELA EX NIHILO

Un souffle magique pour une démonstration ludique, dans un équilibre qui s’esquisse en même temps qu’une évolution qui se façonne avec son histoire. Voilà un vrai créateur, et qui le restera, John Galliano, l’empereur de la couture nous séduit. Pleins feux sur le vêtement, qui n’est pas qu’un produit de consommation valable une saison, mais qui est une histoire, une vie, une évolution, et surtout une rédemption.

Une collection qui est la plus belle, la plus snob, la plus intello, la plus radicale, la plus influente, la plus portable aussi, mais surtout la plus désirable… Une radicalité qui rappelle celle de l’écrivain Jack Kerouac, et finalement, l’ex-pariât de la mode qui passe chez Margiela pour une greffe qui est prise, en laissant au passage les interrogations que laissaient planer ces messieurs de la famille, des institutions de la mode. Pour lire plus cliquer ici

DE LA CRIMÉE A BRASSENS

C’est porte de Brancion que le colonel Adolphe-Ernest Raguet de Brancion vécut, celui-là même qui mourut héroïquement en 1855 au Siège de Sébastopol, lors de la guerre que la France […]

JOYEUX NOËL

Le cadeau lui avait été offert par ses parents. Il était magnifique, et il les remercia chaudement. Malheureusement, aucun mode d’emploi ne figurait dans l’emballage. Il se trouvait devant un […]

JACQUEMUS LA TENTATION DE VENIR

Voici donc une campagne bien orchestrée ; la maison Jacques Mumuse broadcast sur les réseaux sociaux son « crémateur » dans le bureau de Monsieur Hubert de Givenchy. Mat William, […]